dimanche 22 septembre 2013

Ave Maria

Mon meilleur ami est grand-père, deux fois.
Une joie que je n'aurai jamais l'occasion de savourer.
Mais un tourment aussi, quand ton petit-fils est gravement malade.
Il n'y a pas si longtemps, le bon québécois de souche se réfugiait dans la prière qui lui donnait l'illusion de "faire quelque chose" pour protéger l'enfant.
La perte de cette illusion nous rend pleinement conscient de notre impuissance dans de telles situations.
La déchirure n'en est que plus cruelle.

la poursuite de l'espoir

4 commentaires: