vendredi 25 mai 2012

Tant qu'à ne pas y être

Je connais un héros.
Je suis fier de lui avoir donné un coup de main pour soigner ses blessures de guerre.
Et le voilà à l'aube d'un nouveau combat perdu d'avance.
La mort est la seule issue.
Et s'il me le demande, je lui donnerai un autre coup de main.

le dernier recours

4 commentaires:

  1. dismoi, depuisletemps que je commentizici, j'aurais pas le droit à ton blogue secret, juste une fois ? ensuite je l'oublierai.

    La prérogative

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  2. Il ne s'y passe pas grand chose. Je suis immobilisé par la crainte d'y être identifié.
    Je ne voudrais pas que les centaines d'étudiants que je stupéfie chaque année par mes prestations remarquables puisse réaliser que leur professeur est un sauté de la dernière espèce.

    la coquille vide

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  3. Je suis farouchement en faveur de l'euthanasie.
    Ma seule réserve est qu'il ne faut pas mélanger les couleurs. L'euthanasie : oui. Les soins palliatifs : oui. Mais les deux ne font pas bon ménage.

    la fin de vie.

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